Les dérives des réseaux sociaux

La récente affaire Weinstein a démontré avec force les limites des réseaux sociaux où, sous couvert d'anonymat, tout le monde se lâche....

Certes, ce qu'a fait ce personnage est totalement inexcusable et doit être condamné avec la plus grande sévérité.

Mais, pour ma part, j'ai trouvé la suite moins glorieuse: une journaliste a lancé une vaste opération de dénonciation de "son porc"...

Et là,  les fauves ont été lâchés.... Car, hélas, trois fois hélas, les réseaux sociaux autorisent n'importe quoi puisque l'anonymat des personnes est préservé. On peut alors écrire n'importe quoi et dénoncer n'importe qui. Le mal est alors fait!

Des affaires terribles comme celle-là doivent être traitées d'une autre manière: notre justice est là pour cela.

Mais cela vaut aussi pour les réactions des uns et des autres à propos de certains articles: facile d'insulter les gens ou de dénoncer certaines choses lorsque l'on est protégé par l'anonymat.

On a là aujourd'hui un réel problème de déontologie que personne ne cherche vraiment aujourd'hui à régler.

Et, pour ma part, je considère que cela met en danger notre socièté.